Planète Manche.
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Planète Manche.
Boujou.
Pour cette 2e édition du festival dédié au développement durable, on pourra rencontrer l'explorateurNicolas Vanier, voir le film « Home »... ou encore monter dans la caravane des énergies.
Entretien
Jean-François Le Grand, président du conseil général de la Manche, organisateur du festival.
Pour sa 2e édition, le festival Planète Manche s'ouvre davantage au grand public.
Toujours le souci de sensibiliser largement et au plus proche des gens ?
Un bon projet est un projet partagé. Si l'on veut parler des trois piliers du développement durable, que sont le social, l'économie et l'environnement, il faut montrer des exemples concrets, mettre en action des projets de proximité, dans nos propres maisons. Notre principe c'est penser global mais agir local. Le festival Planète Manche est un événement qui permet de faire passer le message. Notamment grâce au prix international des médias.
Partisan de longue date du développement durable, d'où vous vient cet intérêt ?
Sans doute j'ai été marqué dans mon enfance par les escapades avec ma grand-mère dans la campagne de Brécey. Avec elle, j'ai appris la vie, la nature. Vétérinaire de profession, j'ai toujours été tourné vers la biologie, les animaux. Devenu élu, j'ai souhaité être en cohérence avec mes convictions. C'est tout un cheminement. Sans dogme, ni sectarisme. Pour replacer l'environnement dans nos habitudes économiques et sociales, car ce n'est pas incompatible.
Du coup, la Manche se retrouve département pionnier en la matière ?
Sinon pionnier, du moins pas en retard ! Nous en sommes à la 2e génération de notre charte de développement durable. C'est devenu une préoccupation dans notre quotidien. Par exemple, nous travaillons à rendre le plus économe possible en énergie, tous les bâtiments gérés par le conseil général. Sur le plan national, nous venons de fonder un comité pour la biodiversité, avec une dizaine de parlementaires, mais aussi des personnalités comme Hubert Reeves ou Nicolas Hulot. Pour informer et expliquer, que la biodiversité permet à la planète de s'adapter à tout changement. La biodiversité, c'est notre assurance-vie.
Recueilli par Nathalie LECORNU-BAERT.
Ouest-France
Pour cette 2e édition du festival dédié au développement durable, on pourra rencontrer l'explorateurNicolas Vanier, voir le film « Home »... ou encore monter dans la caravane des énergies.
Entretien
Jean-François Le Grand, président du conseil général de la Manche, organisateur du festival.
Pour sa 2e édition, le festival Planète Manche s'ouvre davantage au grand public.
Toujours le souci de sensibiliser largement et au plus proche des gens ?
Un bon projet est un projet partagé. Si l'on veut parler des trois piliers du développement durable, que sont le social, l'économie et l'environnement, il faut montrer des exemples concrets, mettre en action des projets de proximité, dans nos propres maisons. Notre principe c'est penser global mais agir local. Le festival Planète Manche est un événement qui permet de faire passer le message. Notamment grâce au prix international des médias.
Partisan de longue date du développement durable, d'où vous vient cet intérêt ?
Sans doute j'ai été marqué dans mon enfance par les escapades avec ma grand-mère dans la campagne de Brécey. Avec elle, j'ai appris la vie, la nature. Vétérinaire de profession, j'ai toujours été tourné vers la biologie, les animaux. Devenu élu, j'ai souhaité être en cohérence avec mes convictions. C'est tout un cheminement. Sans dogme, ni sectarisme. Pour replacer l'environnement dans nos habitudes économiques et sociales, car ce n'est pas incompatible.
Du coup, la Manche se retrouve département pionnier en la matière ?
Sinon pionnier, du moins pas en retard ! Nous en sommes à la 2e génération de notre charte de développement durable. C'est devenu une préoccupation dans notre quotidien. Par exemple, nous travaillons à rendre le plus économe possible en énergie, tous les bâtiments gérés par le conseil général. Sur le plan national, nous venons de fonder un comité pour la biodiversité, avec une dizaine de parlementaires, mais aussi des personnalités comme Hubert Reeves ou Nicolas Hulot. Pour informer et expliquer, que la biodiversité permet à la planète de s'adapter à tout changement. La biodiversité, c'est notre assurance-vie.
Recueilli par Nathalie LECORNU-BAERT.
Ouest-France
Re: Planète Manche.
c'est la planète des singes en fait...Ceux qui se bouchent les us, les oyères et la goule.
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