Surf Normand.
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Surf Normand.
Boujou.
Le surf normand en finale:
Samedi 10 et dimanche 11 octobre ont eu lieu les championnats de Normandie de surf sur la plage de Siouville.
C'était l'ultime épreuve sélective aux championnats de France qui se dérouleront à Lacanau (Gironde) fin octobre. Le championnat était
organisé par le Cotentin surf club. Cinq clubs étaient représentés : Etretat, Cabourg, Dieppe, Agon-Coutainville et Siouville, et 25
compétiteurs en série open. Hauts et Bas-Normands se sont disputé la victoire.
Vague d’un mètre:
Dimanche, des vagues d’un mètre et un vent de mer de 20 nœuds ont compliqué le placement pour engager de
belles manœuvres. Néanmoins, il y eut du joli spectacle dès les premières séries. A ce jeu, les locaux ont montré leur domination
puisque le quatuor final était composé de 4 surfeurs du CSC.
C’est Jean Baptiste Lépy qui l’emporte devant la nouvelle génération représentée par Gabriel Brot et Bazile Pinel. En série longboard il y avait vingt
partants. La compétition a débuté samedi dans de toutes petites vagues très sélectives. Cette catégorie fut très disputée entre Haut et Bas
Normands et logiquement on retrouve deux longboardeurs siouvillais et deux Haut-Normands (Viking surf club d’Etretat) dans une finale qui
s’est déroulée dimanche dans des conditions plus que difficiles.
Du côté féminin, une surprise avec la victoire d’Hélène Calendot (CSC) en surf open face à Nathalie Kirchner (CSC) qui passe complètement à côté
de sa finale. Cette dernière se consolera en remportant la catégorie longboard. Un championnat de très bon niveau malgré des conditions de
mer très rudes.
Les classements :
Surf open. 1 Jean Baptiste Lépy, CSC, 2. Gabriel Brot, CSC, 3. Bazile Pinel, CSC, 4. Benjamin Genay,
CSC. Longbard : 1. V. Meslin, CSC, 2. T. Chaise, VSC, 3. Florian Maellat VSC, 4. Benjamin Genay, CSC. Surf open ondine : 1. Héléne
Calendot, CSC, 2. Nathalie Kirchner, CSC. Longboard ondine : 1. Nathalie Kirchner, CSC, 2. Mélanie Troadec, CSC, 3. Hélene Calendot, CSC.
La Manche Libre.
Le surf normand en finale:
Samedi 10 et dimanche 11 octobre ont eu lieu les championnats de Normandie de surf sur la plage de Siouville.
C'était l'ultime épreuve sélective aux championnats de France qui se dérouleront à Lacanau (Gironde) fin octobre. Le championnat était
organisé par le Cotentin surf club. Cinq clubs étaient représentés : Etretat, Cabourg, Dieppe, Agon-Coutainville et Siouville, et 25
compétiteurs en série open. Hauts et Bas-Normands se sont disputé la victoire.
Vague d’un mètre:
Dimanche, des vagues d’un mètre et un vent de mer de 20 nœuds ont compliqué le placement pour engager de
belles manœuvres. Néanmoins, il y eut du joli spectacle dès les premières séries. A ce jeu, les locaux ont montré leur domination
puisque le quatuor final était composé de 4 surfeurs du CSC.
C’est Jean Baptiste Lépy qui l’emporte devant la nouvelle génération représentée par Gabriel Brot et Bazile Pinel. En série longboard il y avait vingt
partants. La compétition a débuté samedi dans de toutes petites vagues très sélectives. Cette catégorie fut très disputée entre Haut et Bas
Normands et logiquement on retrouve deux longboardeurs siouvillais et deux Haut-Normands (Viking surf club d’Etretat) dans une finale qui
s’est déroulée dimanche dans des conditions plus que difficiles.
Du côté féminin, une surprise avec la victoire d’Hélène Calendot (CSC) en surf open face à Nathalie Kirchner (CSC) qui passe complètement à côté
de sa finale. Cette dernière se consolera en remportant la catégorie longboard. Un championnat de très bon niveau malgré des conditions de
mer très rudes.
Les classements :
Surf open. 1 Jean Baptiste Lépy, CSC, 2. Gabriel Brot, CSC, 3. Bazile Pinel, CSC, 4. Benjamin Genay,
CSC. Longbard : 1. V. Meslin, CSC, 2. T. Chaise, VSC, 3. Florian Maellat VSC, 4. Benjamin Genay, CSC. Surf open ondine : 1. Héléne
Calendot, CSC, 2. Nathalie Kirchner, CSC. Longboard ondine : 1. Nathalie Kirchner, CSC, 2. Mélanie Troadec, CSC, 3. Hélene Calendot, CSC.
La Manche Libre.
Re: Surf Normand.
https://www.youtube.com/watch?v=08GsyNIHZQo
Surf girls en Cotentin avec des combi es déeus cats MERCY sur you tube avec d'autres vidéo de gros swell...du vrouet et du rHaôt d'ssus (vent ouest et sud ouest)
Surf girls en Cotentin avec des combi es déeus cats MERCY sur you tube avec d'autres vidéo de gros swell...du vrouet et du rHaôt d'ssus (vent ouest et sud ouest)
Re: Surf Normand.
mais si j'en fait au Rozel par exemple voir les sites hague surf, cotentin surf club aussi de mémoire. De jolies images de baston en cherchant bien. Il y en a aussi dans cette rubrique je crois. Voir aussi la vidéo l'ours du Cotentin mangeur de surfeurs you tube ou dMotion...
Re: Surf Normand.
http://cotentin.bodyboard.free.fr/ et voilà Denis Cotentin terre de Surf et de Choule
Re: Surf Normand.
. Bon c'est vrai qu'il y a plus de surf que de body...crosman a écrit:cotentin.bodyboard.free.fr/ et voilà Denis Cotentin terre de Surf et de Choule
voir photos sur SURF NORMAND rubrique en majuscule.
Re: Surf Normand.
Otéééééé, lé cool vrément , zot vagues ! Mais mieux vaut une bonne combinaison , sans doute !
Re: Surf Normand.
Je vous invite à aller sur le site http://marinade.Fr groupe de chants de marin normands pour la zik mais aussi pour voir du Surf en cotentin (du beau et du bastaunt) et même une course de body surf sur neige tout un art de vivre . Même chose Lord, je ne peux exporter facilement les liens et photo aujourd'hui.
notamment voir les Liens (celui de Pinuche). Long board...body board sur neige en baie de Sciotot
notamment voir les Liens (celui de Pinuche). Long board...body board sur neige en baie de Sciotot
Re: Surf Normand.
sympa, tout ça !!!!
c'est ou, dans le cotentin?
la musique marinade fait "breton", non?
c'est ou, dans le cotentin?
la musique marinade fait "breton", non?
Re: Surf Normand.
Surtainville Le Rozel Sciotot Côte ouest près des Pieux.
Ben non ça fait pas breton...sauf quand ils font des bals où ils mélangent toutes les provinces...sinon il y a de l'irlandais ,du quebecois, du normand et le titre "la neire mâove" est un cercle circassien donc rien de breton! Maintenant si tu confonds Irlande Québec et Bretagne tu vas nous faire pleurer .
La plupart des chansons quebecoise viennent de Normandie et Saintonge avec des ziqs trempées dans l'irlandais pour mémoire et encore pas tout.
Tu vas finir comme ces rouennais entendant massilia sound system en concert avec MSSR chantant "bonjour M. le médecin" et disant c'est du breton. Et bien non c'était de la musique traditionnelle du sud/ sud ouest.
J'ai une version de la jument de Michaud en langue d'Oc pour ceux qui veulent mais bien sur il n'y a pas eu le marketing pour "tri yann" pour faire la promo de celle ci. Personne ne sait d'où vient la version originale...
Ben non ça fait pas breton...sauf quand ils font des bals où ils mélangent toutes les provinces...sinon il y a de l'irlandais ,du quebecois, du normand et le titre "la neire mâove" est un cercle circassien donc rien de breton! Maintenant si tu confonds Irlande Québec et Bretagne tu vas nous faire pleurer .
La plupart des chansons quebecoise viennent de Normandie et Saintonge avec des ziqs trempées dans l'irlandais pour mémoire et encore pas tout.
Tu vas finir comme ces rouennais entendant massilia sound system en concert avec MSSR chantant "bonjour M. le médecin" et disant c'est du breton. Et bien non c'était de la musique traditionnelle du sud/ sud ouest.
J'ai une version de la jument de Michaud en langue d'Oc pour ceux qui veulent mais bien sur il n'y a pas eu le marketing pour "tri yann" pour faire la promo de celle ci. Personne ne sait d'où vient la version originale...
Re: Surf Normand.
Boujou.
Côté mer. Dans La Hague, la plage de Siouville est bien connue des surfeurs. S'il est possible de pratiquer ce sport toute l 'année, la saison estivale est particulièrement propice pour le découvrir.
Un bon spot :
Siouville est connu pour être un bon spot, lieu idéal pour la pratique du surf. « C'est un site assez sécurisé, car la plage est en sable, il n'y a pas de bahines et il est abrité des vents de sud-ouest », constate Laurent Latrouitte, président du Cotentin surf club (CSC), à Siouville. Ce club a ouvert ses portes en 2000. Les compétitions cessent durant l'été, mais des cours sont proposés par cette école de surf pour les débutants comme pour les plus confirmés. « Un vent de terre et une belle dépression qui amène de la houle pour permettre aux vagues d'être bien formées » sont les meilleures conditions météo pour pratiquer. Côté mer, elle est parfois d'huile, mais les vagues peuvent aller jusqu'à 1,50 m en été.
Avoir un matériel adapté :
À Siouville, l'eau n'est pas connue pour ses fortes chaleurs. En été, elle varie entre 16 et 20°. La combinaison en néoprène est donc indispensable pour surfer. Lors des cours dispensés par l'école de surf, elle est obligatoire si l'eau n'excède pas les 18°. Il n'est pas seulement question d'avoir chaud, mais aussi de sécurité : « La combinaison permet une meilleure flottaison et une plus grande résistance aux chocs », explique Benjamin Genay, moniteur de surf. Elle permet également de ne pas se brûler la peau sur la planche enduite de wax, une cire anti-dérapante.
Du côté de la planche, plus communément appelée board par les aficionados, il existe plusieurs longueurs et plusieurs matières. Un débutant choisira une planche plus longue et plus large « pour une meilleure stabilité », précise Benjamin Genay. Le CSC loue également des planches, de 10 à 20 €.
Exercices sur le sable...
Avant de se jeter à l'eau, les premiers exercices se font sur le sable. Le moniteur dispense quelques consignes de sécurité sur les courants, les distances à tenir, les règles de priorité dans l'eau : « Le surfeur qui est engagé a la priorité sur les autres », indique Laurent Latrouitte, président du CSC. Une fois ces premières observations faites, place à la technique : « J'apprends le redressement, pour se mettre debout sur la planche », rappelle Benjamin Genay.
Mise en pratique dans l'eau :
Il ne reste ensuite qu'à mettre en pratique les techniques expérimentées sur le sable. La chose n'est pas toujours aisée. Il faut s'armer de patience et assumer quelques chutes. « On fait des va-et-vient techniques entre le sable et l'eau pour essayer d'automatiser les gestes », poursuit le moniteur de surf. Au bout de la première séance, les plus rapides peuvent espérer tenir debout sur la planche. En revanche pour les figures aériennes, il faudra déjà quelques heures d'entraînement derrière soi.
Camille PESNEL. Ouest France.
Côté mer. Dans La Hague, la plage de Siouville est bien connue des surfeurs. S'il est possible de pratiquer ce sport toute l 'année, la saison estivale est particulièrement propice pour le découvrir.
Un bon spot :
Siouville est connu pour être un bon spot, lieu idéal pour la pratique du surf. « C'est un site assez sécurisé, car la plage est en sable, il n'y a pas de bahines et il est abrité des vents de sud-ouest », constate Laurent Latrouitte, président du Cotentin surf club (CSC), à Siouville. Ce club a ouvert ses portes en 2000. Les compétitions cessent durant l'été, mais des cours sont proposés par cette école de surf pour les débutants comme pour les plus confirmés. « Un vent de terre et une belle dépression qui amène de la houle pour permettre aux vagues d'être bien formées » sont les meilleures conditions météo pour pratiquer. Côté mer, elle est parfois d'huile, mais les vagues peuvent aller jusqu'à 1,50 m en été.
Avoir un matériel adapté :
À Siouville, l'eau n'est pas connue pour ses fortes chaleurs. En été, elle varie entre 16 et 20°. La combinaison en néoprène est donc indispensable pour surfer. Lors des cours dispensés par l'école de surf, elle est obligatoire si l'eau n'excède pas les 18°. Il n'est pas seulement question d'avoir chaud, mais aussi de sécurité : « La combinaison permet une meilleure flottaison et une plus grande résistance aux chocs », explique Benjamin Genay, moniteur de surf. Elle permet également de ne pas se brûler la peau sur la planche enduite de wax, une cire anti-dérapante.
Du côté de la planche, plus communément appelée board par les aficionados, il existe plusieurs longueurs et plusieurs matières. Un débutant choisira une planche plus longue et plus large « pour une meilleure stabilité », précise Benjamin Genay. Le CSC loue également des planches, de 10 à 20 €.
Exercices sur le sable...
Avant de se jeter à l'eau, les premiers exercices se font sur le sable. Le moniteur dispense quelques consignes de sécurité sur les courants, les distances à tenir, les règles de priorité dans l'eau : « Le surfeur qui est engagé a la priorité sur les autres », indique Laurent Latrouitte, président du CSC. Une fois ces premières observations faites, place à la technique : « J'apprends le redressement, pour se mettre debout sur la planche », rappelle Benjamin Genay.
Mise en pratique dans l'eau :
Il ne reste ensuite qu'à mettre en pratique les techniques expérimentées sur le sable. La chose n'est pas toujours aisée. Il faut s'armer de patience et assumer quelques chutes. « On fait des va-et-vient techniques entre le sable et l'eau pour essayer d'automatiser les gestes », poursuit le moniteur de surf. Au bout de la première séance, les plus rapides peuvent espérer tenir debout sur la planche. En revanche pour les figures aériennes, il faudra déjà quelques heures d'entraînement derrière soi.
Camille PESNEL. Ouest France.
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