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Naissance d'une nation, l'Angleterre

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Naissance d'une nation, l'Angleterre Empty Naissance d'une nation, l'Angleterre

Message par Jarl Mer 3 Déc - 20:23

Guillaume le Conquérant



La vie et l’action politique de Guillaume le Conquérant, duc de Normandie (1035-1087) et roi d’Angleterre (1066-1087), conditionnent toute l’histoire de l’Angleterre dotée d’institutions assez souples pour évoluer en plusieurs siècles vers une monarchie constitutionnelle. Vassal du roi de France, Guillaume se transforme en conquérant d’une île, puis en souverain qui réussit le paradoxe de construire une monarchie à peu près absolue sur le régime féodal.

Guillaume le Conquérant naquit à Falaise en 1027 ou 1028. Fils naturel du duc Robert le Magnifique et d’Arlette de Falaise, fille du tanneur Foubert, il fut reconnu comme héritier du duché par les grands, à la demande de son père qui partait en pèlerinage à Jérusalem. En 1035, à l’annonce de la mort de Robert, une régence fut établie : Guillaume le Bâtard fut confié à Alain de Bretagne, au sénéchal Osbern, à Gilbert d’Eu et à un certain Théroulde.

Sa minorité fut marquée par les meurtres successifs de ses tuteurs et par l’esprit de sédition qui ne tarda pas à se manifester parmi les seigneurs normands. Henri 1er , roi de France, n’était pas étranger à ces troubles ; il en arriva même à la guerre ouverte et fit ravager l’Hiesmois, au cœur du duché. Le jeune duc faillit perdre la place de Falaise dont le châtelain s’était révolté. L’anarchie était totale, et ce fut seulement en 1040 que Guillaume put tenter de la réprimer. Sa condition de bâtard lui était défavorable, et ses ennemis ne manquaient pas de l’exploiter : en 1047, Gui de Brionne fomenta une révolte des seigneurs du Cotentin et du Bessin. Guillaume échappa de justesse à ses ennemis et demanda assistance au roi de France, son seigneur. Celui-ci l’aida à vaincre les rebelles au Val-ès-Dunes, près de Caen. Victorieux, Guillaume se montra assez sévère à l’égard de certains barons gravement compromis et força son cousin, Gui de Brionne, à s’exiler. Jusqu’en 1060, son activité fut tournée vers l’implantation d’un régime féodal strict, dont la cellule était le « fief de chevalier », et qui lui laissait une autorité étendue et réelle.

Guillaume entreprit aussi des expéditions militaires destinées à couvrir ses frontières, en conquérant des places ou des territoires, notamment dans le Maine où il se heurta à un rival, le comte d’Anjou, Geoffroy Martel. En 1052, il imposa sa suzeraineté au seigneur de Bellême, maître des accès de la Normandie méridionale ; il donna à des fidèles de la famille ducale les comtés d’Eu et de Mortain et le château d’Arques. En 1060, l’expansion vers le sud était achevée par la prise et l’annexion de Mayenne, tandis qu’à l’intérieur l’administration était rénovée et étroitement liée à l’autorité du duc ; l’Église, réformée, devient tout en même temps plus soumise au duc et renouvelée dans sa spiritualité par le mouvement monastique.



La conquête.



C’est alors que Guillaume va réaliser un dessein qu’il a mûri pendant plusieurs années : Édouard le Confesseur, roi d’Angleterre, fils d’Emma de Normandie, grand-tante de Guillaume, meurt au début de 1066 ; mais un seigneur saxon d’origine danoise, Harold, fils de Godwin, se fait couronner roi. Les droits de Harold et ceux de Guillaume étaient également contestables. Deux autres personnages, Tostig, frère d’Harold, qui vivait en exil, et Harold Hardraada, roi de Norvège, pouvaient aussi prétendre au trône anglais ; et surtout un troisième, l’héritier du sang, dont nul ne s’occupa alors, Edgar l’Atheling, petit-fils du roi Edmond II Côtes de Fer et petit-neveu d’Édouard le Confesseur, le seul descendant mâle de la race des rois saxons. Guillaume n’hésita pas : il résolut de conquérir ce royaume qui lui avait été ravi par Harold et commença des préparatifs diplomatiques et militaires. Le roi de France, Philippe 1er , était encore un enfant sous la tutelle de Baudouin V, comte de Flandre, beau-père de Guillaume.



Le duc demanda, dans sa querelle avec Harold, l’arbitrage du pape Alexandre II qui lui était favorable, car Guillaume avait réformé l’Église normande selon ses vues, alors que Harold s’appuyait sur Stigand, archevêque de Canterbury, que le pape n’avait pas reconnu et avait excommunié. Guillaume fit construire une flotte et rassembla ses voisins, ses amis et ceux de ses vassaux qui consentaient à guerroyer avec lui hors du duché. Pendant ce temps, deux des prétendants, Harold Hardraada et Tostig, débarquaient à la tête de forces importantes dans le nord de l’Angleterre, battaient une armée saxonne et obligeaient Harold, quoique menacé au sud par Guillaume, à accourir en personne. Il remporta une victoire complète ; ses rivaux avaient tous deux péri, mais son armée était décimée et, tandis qu’il la ramenait vers le sud, Guillaume débarquait à Pevensey. Le 14 octobre, les deux adversaires se rencontrèrent sur la colline de Senlac, près de Hastings. Guillaume, après un échec partiel, redressa la situation. À la fin de la journée, Harold était tué et les Saxons écrasés. Guillaume obtint, à Wallingford, la soumission des nobles saxons. Le jour de Noël 1066, il fut sacré dans l’abbaye de Westminster. Il entreprit alors de gouverner l’Angleterre, non comme un conquérant victorieux, mais en roi légitime, droit héritier d’Edouard le Confesseur.



Le roi d’Angleterre.



Toute sa propagande est fondée sur l’idée de légitimité ; c’est pourquoi il ne confisque d’abord que les biens des Saxons, peu nombreux, qui ont porté les armes contre lui et qu’il considère comme traîtres et rebelles. En février 1067, Guillaume, triomphant, peut retourner en Normandie en laissant l’administration du royaume à son sénéchal, Guillaume Fils-Osbern, et à son demi-frère, Eudes, évêque de Bayeux. Ceux-ci ne gouvernaient que la partie de l’Angleterre dont Guillaume était maître, c’est-à-dire le sud et l’ouest ; en effet, les Midlands et toute la région orientale et septentrionale semblaient peu loyaux au nouveau souverain. En outre, pesait sur le royaume, la perpétuelle menace d’une invasion scandinave. À ces dangers s’en ajoutait un autre : parmi ses compagnons auxquels il avait distribué d’importantes dotations en terres, Guillaume comptait peu de vassaux normands sur qui son autorité était forte. Il fut bientôt rappelé en Angleterre par une révolte inspirée par Eustache de Boulogne, richement pourvu en Angleterre, dont il confisqua les fiefs. À ce moment, son prestige est tel que ce sont des Saxons qui l’aident et qui repoussent l’invasion de trois fils de Harold qui tentaient de recouvrer le trône.

En 1068, la révolte de deux seigneurs saxons, les comtes Edwin et Morcar, est réprimée, et cette campagne donne à Guillaume l’occasion d’entrer à York et de soumettre les comtés du Nord. Il adopte une ligne politique fondée sur la clémence et traite volontiers avec les rebelles vaincus, en leur laissant leurs charges ; il tient le pays en respect en le couvrant de châteaux à la mode normande ; enfin, il emploie surtout dans ses armées des mercenaires, saxons aussi bien que normands.

Cependant, cette politique tolérante est rapidement modifiée sous la pression des circonstances. Dès 1069, le pays au nord du Humber se soulève : le comte Copsi, puis Robert de Commines périssent sous les coups des rebelles. En même temps, on voit reparaître Edgar l’Atheling, soutenu par les Écossais ; les chefs gallois passent la frontière ; des seigneurs anglais des Marches font défection. La Mercie se révolte. Le comte saxon Waltheof, à qui Guillaume avait prodigué ses faveurs, attaque York. Enfin, une flotte danoise s’approche pour prêter main-forte aux insurgés. Guillaume rétablit la situation en faisant appel à des Normands, en utilisant les ressources de l’Angleterre méridionale, en s’appuyant sur les châteaux et en réprimant la sédition avec brutalité. Pour frapper de terreur les rebelles, il dévaste systématiquement une partie du Yorkshire où des populations entières périssent de faim et de froid. Ces méthodes cruelles assurent sa domination : en 1072, il peut en toute sécurité licencier ses mercenaires ; Il a partie gagnée.



En 1075, une nouvelle conjuration de grands barons normands et bretons, Raoul de Gaël et Roger de Hereford, celui-ci fils du fidèle Guillaume Fils-Osbern, est vaincue par Eudes de Bayeux. Le comte saxon Waltheof, qui n’avait pas pris part à ce complot, mais l’avait connu et ne l’avait pas dénoncé, est décapité. Guillaume, on le voit, au cours de la période 1070-1076, a changé de politique. C’est alors que naît l’Angleterre médiévale. Les sheriffs qui administrent les comtés pour le roi sont des barons normands. Bien plus, Guillaume évince la plupart des prélats saxons et les remplace par des Normands : le siège primatial de Canterbury a été enlevé à Stigand et confié à Lanfranc, un Italien, depuis longtemps moine puis abbé au Bec-Hellouin, et l’un des principaux artisans de la réforme religieuse en Normandie. Pour les barons, le roi s’attache à former de grands groupes de fiefs, les honneurs, jamais d’un seul tenant, mais comprenant des terres dans diverses régions du royaume. Les Saxons ont été à peu près complètement dépossédés ; l’enquête menée dans tout le royaume à la fin du règne montre que, parmi les vassaux directs du roi, la grande majorité sont des Normands ou des Français : un nombre infime de grands propriétaires saxons ont pu conserver leurs terres.



Dès lors, Guillaume, dont le pouvoir s’appuie sur cette organisation nouvelle, peut sans danger passer la moitié de son temps en Normandie. Des deux côtés de la Manche, le régime féodal est le même : ses cadres comprennent les tenants-en-chef, ou vassaux directs du prince, responsables envers lui du service de leurs chevaliers chasés sur les fiefs de chevalier. Guillaume pousse le souci de l’organisation féodale jusqu’à obliger ses sujets à lui prêter serment de fidélité. C’est le sens du célèbre Serment de Salisbury par lequel, en 1086, les principaux nobles durent se lier envers lui. En outre, en Angleterre, ce régime féodal se superpose à la vieille organisation saxonne fondée sur le manoir. C’est l’imbrication de ces deux systèmes, loi traditionnelle du royaume pendant des siècles, que nous fait connaître la grande enquête ordonnée par Guillaume en 1086 et qui devait être achevée seulement sous Henri Ier Beauclerc, le Domesday Book. Ce document montre aussi que la population est désormais composée de deux éléments bien séparés : les nobles, presque tous normands ou français, et le peuple saxon qui leur est soumis et qui voit le statut de ses hommes libres se dégrader de plus en plus jusqu’à une semi-servitude.

La fin du règne de Guillaume fut consacrée à la défense du royaume contre la trahison, c’est le sens de la disgrâce d’Eudes de Bayeux - et contre la menace d’invasion du roi danois Cnut IV le Saint, en 1085. Sur le continent, Guillaume guerroie en Vexin contre le roi de France, mais il meurt à Rouen, en 1087, peu après la prise de Mantes.



L’œuvre.



Guillaume le Conquérant est de ces hommes qui ont marqué profondément leur temps et laissé après eux une œuvre capitale. La sienne semble être d’abord l’union qu’il a réalisée de la Normandie et de l’Angleterre, union d’ailleurs préparée depuis cent ans par les rapports constants qu’entretenaient ces deux pays. Mais surtout, Guillaume a fait de ses États des ensembles organisés ; il a durement guerroyé pour assurer la sécurité des frontières normandes et pour asseoir son autorité en Normandie, dans le Maine et en Angleterre. Il s’est senti, tant en Angleterre qu’en Normandie, investi par Dieu de la mission de faire régner la paix, c’est-à-dire l’ordre, et de veiller à ce que les droits de tous, et surtout ceux de l’Église, pussent s’exercer librement. Il avait épousé en 1053 une princesse flamande, la reine Mathilde, qui devait mourir en 1083, et ce couple royal de vie exemplaire se plut à fonder des abbayes comme l’abbaye aux Hommes et l’abbaye aux Dames de Caen, et l’abbaye de Battle, au lieu même de sa victoire. Guillaume a certainement eu en vue le bien spirituel de ses sujets, comme en témoignent ses efforts pour réformer l’Église normande et organiser l’Église anglaise. Il stimula un immense mouvement de rénovation de la société, tant religieuse que séculière, et il aboutit à des résultats positifs.



Pourtant, il ne considérait l’union des deux couronnes que comme passagère et personnelle. Il ne songea pas à la rendre durable. À son lit de mort, il partagea ses États comme un patrimoine, ainsi qu’aurait pu le faire deux siècles plus tôt un souverain carolingien : la Normandie, considérée comme son bien propre, devait devenir l’héritage de son fils aîné, Robert Courte-Heuse (mort en 1134) ; l’Angleterre, traitée en acquêt, revenait au cadet, Guillaume le Roux (mort en 1100) ; son troisième fils, Henri Beauclerc, devenu Henri Ier (mort en 1135), devait se contenter d’une somme d’argent et du comté de Mortain. Ce fut pourtant ce dernier qui acheva et perpétua l’œuvre paternelle. L’union de la Normandie et de l’Angleterre, rompue en 1087, fut rétablie en 1106 par ce prince astucieux et calculateur qui avait profité, pour devenir roi, de la mort de Guillaume le Roux et, pour devenir duc, de l’anarchie que Robert avait laissé se développer dans son duché ; alors, Henri intervint, vainquit son frère à Tinchebray et le garda captif sa vie durant. L’État anglo-normand ainsi reconstitué, prolongement direct de l’œuvre de Guillaume le Conquérant, devait s’accroître encore au XIIe siècle des terres d’Anjou et d’Aquitaine et devenir une grave menace pour le roi de France. Il subsista jusqu’en 1204. C’est sous le règne d’Henri 1er que commença la fusion entre éléments saxons et éléments normands qui créa la nation anglaise.



Lien : http://www.innovation-democratique.org/Guillaume-le-Conquerant.html



Ah oui, quelque chose qui attira mon attention :



il a durement guerroyé pour assurer la sécurité des frontières normandes et pour asseoir son autorité en Normandie, dans le Maine et en Angleterre.



Le Maine serait il donc normalement Normand ? Est-ce de là que l'on voit la cause des ressemblances Maine-Normandie ?



Sur le continent, Guillaume guerroie en Vexin contre le roi de France, mais il meurt à Rouen, en 1087, peu après la prise de Mantes.



Ce qui me fait penser que nous devrions réclamer les villes normalement normandes perdues au Sud et à l'Est (Notamment la Région Parisienne et Picardie qui nous ont bouffés) ainsi que le Vexin.
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Message par Thor Alansen Mer 3 Déc - 21:58

On ne peux pas dire a proprement parler que le Maine soit Normand. Il a été conquis un moment par Guillaume, mais pas entièrement, d'une part, mais surtout reperdu assez rapidement dans l'histoire normande... Mais le Maine, c'est bizarre, c'est une marche entre trois entités importantes (et remuantes) au moyen-age : la Normandie, la Bretagne et les terres du Roi de France... Pour preuve la quantité de châteaux du Maine Very Happy

Ensuite, tout le vexin n'est pas normand, il s'agit aussi d'une marche (protégée du coté normand par Chateau Gaillard et Gisors)... On a le Vexin français en face...

Et ne cherche pas à réclamer des terres "perdues" ou quoi que ce soit d'autre, çà a des relents assez nauséabonds de "Grande Normandie"... L'Histoire a fait que certains territoires ont été normands a une époque et ne le sont plus... C'est tout et faut s'en contenter. Sinon, après le Vexin et les villes du nord, tu veux quoi ? La Sicile ? le Comté d'Antioche (pour ce dernier, va falloir t'arranger avec les Syriens et les Libanais, ce qui n'est pas gagné...) ?

Contentons-nous de sauvegarder déjà notre patrimoine dans les frontières qui ont été établies il y a plusieurs siècles déjà Very Happy


Sinon ton petit topo était fort bien... http://smileys.sur-l
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Message par LORD Mer 3 Déc - 22:08

Boujou.

Tout à fait d'accord avec Thor Alansen... sinon, avec les Plantagenêts, on peut aussi réclamer la moitié de la France actuelle... cela n'a plus de sens!
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Message par crosman Mer 3 Déc - 22:42

attendez, attendez il y a un bout d'Italie itou et puis Antioche. Sans oublier les Canaries!
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Message par Jarl Mer 3 Déc - 23:19

Thor, j'espère que nos petit-petit-petit-petit enfants auront la possibilité de réclamer ces terres perdues.

Pour les terres éloignés tels ue la Sicile etc ... Je suis partisan d'un Conseil Normand mais bon je suis un peut trop visionaire, si je meure en laissant une Normandie Unique, une Langue et une Identité à peut près restitués et l'Autonomie en bonne voie je serais déjà heureux.
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Message par LORD Mer 3 Déc - 23:24

Bah là on est d'acco min Jarl. :flag2:
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Message par Jarl Mer 3 Déc - 23:29

Et j'en suis ravis Wink
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Message par crosman Jeu 4 Déc - 0:22

Au fait on ne parle pas d'Ecosse ici et pourtant...Bruce du Cotentin est à la base de la nouvelle dynastie de la haut!! Et le
Hagi est un plat normand à la base ! http://smileys.sur-l
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