Re: Le "Meuh'Cola".

[crosman]

partout on voudrait bien .

On en prendra pour notre collation de fin d'assemblée des jeux et sport normands à Carentan le 8/08 (si on en trouve ).

L'autodérision c'est bien mais pas trop quand même tout le monde n'est pas normand et donc ne peut pas comprendre !

[Clem1066]

Bien d'accord avec vous Mr Meuh , malgré mes critiques précédentes .

(qui a apporté 80% de l'anglais actuel d'ailleurs)

Heulà , je pense qu'il ne faut pas pousser non-plus , de l'ordre des 25-30% sûrement , mais 80% , autant dire que l'anglais est un "patois" nouormaund .

[carente50]

c'est bien vrai Crosman à Carentan un petit coup de pub pour Meuh cola pas de problème mais faut quand même du grain à moudre non? et cela se mérite de toute façon
tout a fait d'accord avec toi en se qui concerne l'auto dérision façon Heula point trop n'en faut ,voire la bigoudène tout sourire et notre pauvre viking avec un parapluie sur le cul des voitures enfin faut relativiser car tu as 1000 bigoudènes pour 1 pauvre viking tout ça a cause d'une distribution inadaptée les bretonnes tu les vois dans toutes les grandes surfaces et parfois ils les offrent ,le viking ? Ben fait moi signe si un jour tu le trouve facilement
Heula faudrait qu'il se bouge un peu ,le problème c'est qu'ils font les mêmes produits en tout cas les cartes postales à la mode bretonne

[Mr Meuh]

Pour les 80%, il me semble avoir vu ça sur le Ouest France. Un forum d'historiens se sont réunis au Mont St Michel pour statuer l'apport du Normand à l'anglo-normand. Il me semblait que c'était considérablement élevé. Je crois que vous minimisez l'apport du Normand mon cher ami :
Mais l'événement crucial pour la langue "anglaise" se produit quand des descendants de vikings installés en France depuis plusieurs générations se lancent à la conquête de l'Angleterre et la subjuguent; il s'agit de l'aventure de Guillaume le conquérant. Ces "Normands" sont toujours des vikings, du moins dans leur mentalité ("par Odin, je vois une île de l'autre côté de cette petite mer, monseigneur, et si on allait la conquérir demain matin ?") mais au cours de ce long séjour à proximité de la Seine, ils ont perdu la langue de leurs ancêtres (bien que certains mots scandinaves survivent évidemment en Normandie cf. la page de notre ami Gilles Mauger) et ont adopté le dialecte local, une variété de la langue d'Oïl.
Quelquefois évoqué sous le nom d'anglo-normand ou simplement comme de l'ancien français selon les sources, il s'agissait en réalité d'un dialecte normand, proche aussi du picard, c'est à dire pas très éloigné du parler popularisé récemment par le film "Bienvenue chez les Chtis".
http://magene.chez-alice.fr/anglais.html

[crosman]

la vérité est entre les deux tiens prenons bedot c'est un lit e nnormand . MAis attention les viking sont allées et sont restés longtemps dans toutes les iles britanniques si bien que nous avons itou un vocabulaire commun!

Joël = en fait il faudrait que les OT en achète et en donne. Avec TEC NOR on va en donner (ceux de Lord). La St Olaf que j'ai sur ma tchérette vient d'un mini concours sur un camp Viking à Bréhal!

Si vous voulez faire des dons à TEC NOR pas de problème

[carente50]

sauf que certains ont des oursins dans les poches

[christophe]

meuh !!! je déniche cette élexir ou ?

[Clem1066]

Pour les 80%, il me semble avoir vu ça sur le Ouest France. Un forum
d'historiens se sont réunis au Mont St Michel pour statuer l'apport du
Normand à l'anglo-normand.

Avec l'anglo-normand , d'accord , mais vous parliez de l'anglais actuel .


En 1973, Thomas Finkenstaedt et Dieter Wolff, en se basant sur les 80 000 mots du Shorter Oxford Dictionary (3^e édition), ont établi dans Ordered Profusion la répartition suivante^[17]:

• langue d'oïl, le normand principalement mais on y trouve aussi le picard et enfin l'ancien français : 28,3 %
  
• latin, y compris les mots scientifiques et techniques de fabrication récente : 28,24 %
  
• ancien et moyen anglais, vieux norrois et néerlandais : 25 %
  
• grec : 5,33 %
  
• étymologie indéterminée : 4,02 %
  
• mots dérivés de noms propres : 3,28 %
  
• toutes les autres langues : moins de 1 %^{[Note 4]}.
  

Sur wikipédia , attention article rédigé très sérieusement.

[LORD]

meuh !!! je déniche cette élexir ou ?

Le Comptoir Normand (Boutique régionale): 7 rue de Geôle, 14000 CAEN
Fabrique de Bières de la Baie (Boutique régionale): 4 et 6 route de la Roche Torin, 50220 COURTILS, tél. 02.33.60.37.65
Lac de La Roche qui Boit - L'Autre Café (Bistrot): , 50240 SAINT LAURENT DE TERREGATTE, tél. 02.33.48.57.81
L'Appel à Pizza (Restauration ambulante): 24 rue du Thar, 50320 LA HAYE PESNEL
Boulangerie Fouchard (Boulangerie): Rue de Tourville, 50330 COUTAINVILLE
Le Gros Bé (Paillote): Parking de Sciotot, 50340 LES PIEUX
Baligan (Paillote): Place des Tamaris, 50340 SIOUVILLE, tél. 02.33.01.06.45
Le Rocher (Bistrot / restaurant): 2 place Maréchal Foch, 50400 GRANVILLE
Winibelle (Pub): 97 rue des Juifs, 50400 GRANVILLE
Ferme de la Moricière (Boutique à la ferme): La Moricière, 50530 SARTILLY
Au Fabuleux Destin (Epicerie fine): 21 rue Hellouin, 50580 PORT-BAIL, tél. 02.33.04.71.36
Antik café (Salon de Thé): , 50590 HAUTEVILLE-SUR-MER, tél. 02.33.17.23.64
Vergers de la passion (Boutique régionale): ZA Le Pont, 50690 MARTINVAST, tél. 02.33.03.04.32
Restaurant "Le Saint-Michel" (Café de pays): Le Bourg, 50740 SAINT-MICHEL-DES-LOUPS, tél. 02.33.61.88.53
L'Imprévu (Bistrot / restaurant): Le Bourg, 50800 CHAMPREPUS, tél. 02.33.51.42.32
AGG-Bootik (Boutique équitable): 44 Rue Saint-Sébastien, 59000 LILLE
BAMIL - Londaya M. Créations (Boutique équitable): Pôle du Commerce Equitable - Centre commercial du Triolo, 59652 VILLENEUVE D'ASCQ
Secret Knight (Pub): Le Bourg, 61700 CHAMPSECRET
Epicerie équitable Lille-Lyon (Boutique équitable): 15 Quai de Serbie, 69454 LYON, tél. 04.72.98.06.00



Mais également lors des manifestations suivantes :

* Les AJT du Bocage : 10 avril 2010 à Champsecret (61)
* Festival des papillons de nuit : 28-29-30 juin 2010 à Saint Laurent de Cuves (50)
* Les Hétéroclites : du 02 au 06 juin 2010 à Saint Lô (50)
* Siouville Open Surf : 05-06 juin 2010 à Siouville (50)
* Grolux : 12-13 juin 2010 à Louvigny
* Comptoir Normand : 19 juin 2010 à Caen (14)
* Festival de la glisse : 25-26-27 juin 2010 à Agon Coutainville (50)
* Au foin de la rue : 3-4 juillet 2010 Saint Denis de Gastines (53)
* Chauffer dans la noirceur : 9-10 juillet 2010 à Montmartin sur Mer (50)
* Marché Etik et Bio : 9 juin à Avranches (50)

[LORD]

Boujou.

A voir:

[Guillaume]

J'insiste !

DOMI-BIO : boutique bio, route du Neubourg à BOURGTHEROULDE (27)

[Clem1066]

Génial la pub !


Elle pourrait passer sur NormandieTV

[LORD]

[LORD]

Boujou.

La Meuh Cola, drôle de soda normand :

Née à Granville, cette limonade au cola estampillée normande est aussi un produit “solidaire” aux yeux de son créateur.
"Mé j'bé d'la Meuh..." . Pour une boisson porte-drapeau, la Meuh Cola ne se prend guère au sérieux. Elle n'est pas, conformément au cliché, réalisée à base de pomme, et la vache sur ses étiquettes parle dans un patois approximatif.

Un cola naturel :
La Meuh Cola est née dans la tête d'un Granvillais taquin, Sébastien Bellétoile : “J'adore parodier les grandes marques. Et puis je trouve que les Normands ne se valorisent pas assez, l'auto-dérision est une façon de s'assumer”. Un humour au service de valeurs plus sérieuses et bien ancrées. “Le terme exact pour définir ma boisson est solidaire”, précise-t-il.

Il entend par là une dose de bio, un peu d'équitable et un goût de la petite entreprise à taille humaine. Début 2009, ce trentenaire, alors au chômage, commence à s'intéresser aux sodas régionaux qui fleurissent partout en France. Bientôt associé à un producteur de cola basque, qui lui cède une partie de son stock, le Granvillais teste les premières bouteilles étiquetées Meuh Cola sur les festivals, à l'été 2009. C'est au festival Calvadose de Rock de Bayeux, que la Meuh Cola entre en scène au sens propre du terme, puisque le duo de La Chanson du Dimanche la présente au public ! Convaincu du potentiel du soda, Sébastien Bellétoile décide d'en faire son activité principale et s'attelle à une refonte radicale de la recette. Il vise une boisson moins chimique, conforme au cahier des charges du label Agriculture Biologique.

Les différents tests lui font prendre quatre kilos, et il hérite auprès de ses trois enfants du grâcieux surnom de “Meuh papa” ! Mais finalement, la Meuh nouvelle est “prête pour Noël”, et en avril 2010, le Granvillais crée sa société, Solibulles. Depuis, il a déjà vendu 5 000 bouteilles d'un litre et demi de son breuvage et 10 000 bouteilles de vingt-sept centilitres, et a reconstitué son stock avant l'été. La saison sera décisive.“J'ai dû vendre ma maison pour me lancer. Je cherche logiquement à revenir sur mon investissement”. Mais pas de façon démesurée, façon empire Meuh Cola.

Priorité aux petits :

Son dada reste avant tout d’animer le tissu économique local - aussi bien ici qu'au Paraguay, où se trouve la coopérative qui fournit son sucre. “Je n'ai rien contre le capital, je suis moi-même entrepreneur. Mais à mon avis, les grandes entreprises d'aujourd'hui redistribuent trop peu leurs profits. Je préfère faire vivre de petits paysans que de grands betteraviers, et des boutiquiers plutôt que des supermarchés”.
Dans l'idéal, il se voit travailler uniquement avec le petit commerce. “Si mes produits sont un peu plus chers, au moins l'argent est remis dans le circuit.” Outre les ventes sur les festivals, il compte déjà une soixantaine de relais (restaurants, bars, épiceries), surtout en Normandie mais aussi dans des villes comme Lille ou Lyon. “Il y a quarante ans, des centaines de limonaderies fonctionnaient dans la région.
J'ai un peu l'impression de faire revivre cette activité, mais autrement. Je suis un limeuhnadier !”, pétille-t-il. Bientôt, en septembre, des machines feront du local un peu vide de Saint-Pair-sur-Mer une véritable petite fabrique. Le limonadier a eu la chance d’acquérir du matériel à un prix d’ami. Il se prépare à installer une siroperie - pour les mélanges - et un carbonateur - pour gazéifier -, qui lui permettront de tout élaborer sur place, la Meuh Cola sera alors 100% Normande.

D'ici là, le Granvillais sera présent sur bien des événements, comme les Traversées de Tatihou du 10 au 14 août à Saint-Vaast-la-Hougue. Une nouvelle fois le père du cola normand ira à la rencontre des festivaliers. “Quand je prononce le nom, les gens sont d'abord intrigués, puis amusés, et finalement ils s'intéressent à ma démarche.” La Meuh Cola, une boisson “vachement” pédagogique.

La Manche Libre.

[LORD]

La caravane de la Meuh... la Carameuh :

[Clem1066]

Énorme, j'aime de en plus en plus le côté décalé de la marque !

[crosman]

y a un côté pratique en fin de soirée

[carente50]

pour Cherbourg ce sera parfait

[LORD]

Et maintenant la "Meuh-berouette" :

[LORD]

Boujou.

[LORD]

Boujou.

Sébastien Bellétoile a misé sur une image normande et décalée pour ses sodas, devenus des produits emblématiques de la région.
Il y a trois ans, le soda « made in » Normandie débarquait sur les étals pour se mesurer aux géants américains. Depuis le concept a séduit le public et fait des petits.
« Je buvais du soda mais je voulais avoir une démarche artisanale, alors je suis devenu limonadier. » Sébastien Bellétoile résume son aventure d'entrepreneur du soda en une phrase. Installé à Saint-Pair-sur-Mer, cet artisan de 36 ans a pourtant investi corps et biens dans son entreprise. « Pour obtenir un semblant de recette qui convenait à ma femme et mes trois enfants, j'ai mis 3 mois et pris 4 kg, explique-t-il. J'ai vendu ma maison, une partie de la somme a permis de lancer l'entreprise Solibulles. »

À l'origine carrossier, le jeune entrepreneur s'était d'abord reconverti dans le commerce équitable avec un site Internet où il distribuait notamment un cola artisanal, jusqu'à un arrêt de la production. « J'ai décidé de me lancer. En trois semaines, le concept de la Meuh Cola était né. » Suivie de près par sa mascotte, une vache, choisie pour « le côté normand et décalé ». Au début, Sébastien Bellétoile a recours à un prestataire, installé à Cognac, pour réaliser l'embouteillage. « Il n'y avait pas plus près, les limonadiers de Normandie avaient tous disparu. »

Démarche éco-responsable :

Le « limeuhnadier » choisit d'utiliser des produits biologiques locaux ou issus du commerce équitable, refusant l'acide phosphorique ou la caféine. « Je cherchais un produit de substitution pour le caramel colorant, trop controversé, et j'ai trouvé le marc de raisin. » Un retour aux sources puisqu'à l'origine du soda américain connu de tous, on trouve le « vin mariani, mélange de vin et de coca, succès du XIXe siècle. Le créateur du Coca-Cola l'a copié, mais avec la prohibition, il a remplacé le vin par du caramel pour garder la couleur d'origine ».

L'année dernière, la Meuh Cola et son goût citronné ont décroché le prix du commerce équitable, remis par la ministre Roselyne Bachelot. Jamais à cours d'idées et d'humour, Solibulles a décidé d'appeler sa nouvelle boisson rose, aux extraits de raisin, la Meuh Cola Roseline. Destinée à un public féminin, elle sera distribuée cet été. La diversification de la production est aussi passée par la création d'une Limeuhnade, avec un goût à l'ancienne et une version allégée à la stévia. La Meuhlk, boisson énergisante, devrait être lancée en début d'année prochaine.

Une marque bien implantée :

Pour accompagner le rythme croissant de la demande, passé de 25 000 litres en 2009 à 70 000 aujourd'hui, Sébastien Bellétoile a investi il y a peu 85 000 € dans une petite chaîne de production. « On a choisi volontairement de fournir des petites surfaces au début pour arriver à suivre », explique l'artisan, qui travaille avec une salariée et un intérimaire.

Aujourd'hui, l'entreprise compte 530 clients qui sont à « 70 % en Basse-Normandie, les autres sont répartis dans toute la France ». La société va être amenée à se développer. « On compte s'installer dans un bâtiment plus adapté, dans le pays de la baie. Si tout va bien, le projet devrait aboutir d'ici avril prochain », confie-t-il avec l'espoir de doubler la production et un chiffre d'affaires de 130 000 €, certes à l'équilibre, mais qui ne lui permet pas encore de verser de gros salaires, ni d'embaucher. Il mise également sur la Prodicop, une coopérative de transformateurs, créée en avril dernier, qui distribue les produits de Solibulles et d'autres boissons artisanales.

Une petite troupe d'acteurs pourrait également endosser le costume de la vache mascotte pour des vidéos « meuhrantes » sur Internet. Une manière de renforcer le lien avec le public, de plus en plus attaché à la marque.


Mélanie CONTENT.

[crosman]

c'est quoi la basse Normandie !!!

[LORD]

Là je sais pas..???

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