français algérien italien
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LORD
Rollon
FANTROSSI
7 participants
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français algérien italien
Bonjour
Voilà Mon je m’appelle FANTROSSI j'habite la ville de Lyon.
Mon nom d'origine est FANTROSSI nom composé de mes deux ancêtre FANT et ROSSI cela remonte aux 16 siècle quand l’Espagne régnait sur la Sicile et Naples(royaume de Sicile)Mon ancêtre ROSSI est parti au Maghreb(Algérie)qui été elle aussi à cette époque sous le règne espagnol,il s'est marié avec FANT qui était de la même origine que lui(sicilienne ou napolitaine)vu que le royaume de Sicile comptait Naples.
Ensuite les turcs ont chassé les espagnols ROSSI a du quitté le Maghreb(Algérie)et a laissé sa femme et ses enfants sur place qui ont resté depuis ce jour au Maghreb.
Voila je suis pas fort pour me présenter
merci
Voilà Mon je m’appelle FANTROSSI j'habite la ville de Lyon.
Mon nom d'origine est FANTROSSI nom composé de mes deux ancêtre FANT et ROSSI cela remonte aux 16 siècle quand l’Espagne régnait sur la Sicile et Naples(royaume de Sicile)Mon ancêtre ROSSI est parti au Maghreb(Algérie)qui été elle aussi à cette époque sous le règne espagnol,il s'est marié avec FANT qui était de la même origine que lui(sicilienne ou napolitaine)vu que le royaume de Sicile comptait Naples.
Ensuite les turcs ont chassé les espagnols ROSSI a du quitté le Maghreb(Algérie)et a laissé sa femme et ses enfants sur place qui ont resté depuis ce jour au Maghreb.
Voila je suis pas fort pour me présenter
merci
FANTROSSI- Messages : 3
Date d'inscription : 09/06/2013
Age : 54
Localisation : LYON
Re: français algérien italien
Un sicilien !! , bienvenue sur le forum !
Rollon- Messages : 25
Date d'inscription : 01/06/2013
Localisation : Hague, Nord-Cotentin
Re: français algérien italien
Merci
Rollon
Rollon
FANTROSSI- Messages : 3
Date d'inscription : 09/06/2013
Age : 54
Localisation : LYON
Re: français algérien italien
Boujou l'amin.
Bienvenue ichin.
A bitot de te lire sur ce forum.
Amitiés Normandes.
Bienvenue ichin.
A bitot de te lire sur ce forum.
Amitiés Normandes.
Le Goublin- Messages : 605
Date d'inscription : 09/03/2013
Localisation : Nord Cotentin
Re: français algérien italien
A presto...A byitâot
Byiveneu / Benvenuto...
Bouone acaunchi / Ben acceto
Byiveneu / Benvenuto...
Bouone acaunchi / Ben acceto
Re: français algérien italien
Et moi aussi je peux me la péter:
A byitâot / لديه قريبا
Byiveneu / اهلا وسهلا بكم
Bouone acaunchi / اهلا وسهلا بكم
A byitâot / لديه قريبا
Byiveneu / اهلا وسهلا بكم
Bouone acaunchi / اهلا وسهلا بكم
Le Goublin- Messages : 605
Date d'inscription : 09/03/2013
Localisation : Nord Cotentin
Re: français algérien italien
Revois tes notes Crosman , l'arabe, l'italien de sicile et les Normands partagent un lien étroit, ce n'est pas moi qui le dit, c'est l'histoire.
Extrait de la page wiki concernant l'arabo-sicilien.
Arabe sicilien
L'arabe sicilien était un dialecte arabe parlé entre le xe et le xiie siècle en Sicile, en Calabre et aux îles Kerkennah, petit archipel proche de la côte tunisienne. Appelé en arabe siqili ou sqili (de Siqiliya, nom arabe de l'île), il fait avec le maltais, dont il était très proche, partie des langues dites siculo-arabes.
Histoire chrono-culturelle de l'arabe sicilien
Conquête aghlabide de la Sicile
Après la mort de Mahomet, en 632, la djihad permit l'expansion de l'islam, d'abord au Machrek avec les trois premiers califes, compagnons du prophète, puis au Maghreb et en al-Andalus avec les califes omeyyades. La mer Méditerranée est un « lac musulman » 1 pour le commerce arabe. Les seuls à contester son hégémonie sont les empereurs byzantins qui, avec la Sicile et Malte, contrôlent la rive nord du passage entre le bassin oriental et occidental de la Méditerranée.
Au tout début du viiie siècle, les Aghlabides de l'Ifriqiya s'attaquent à Constantinople — mais échouent après un an de siège —, et à la Sicile, mais ils doivent renoncer pour faire face à des révoltes berbères en Afrique du Nord. Finalement la conquête de l'île ne fut réalisée qu'au ixe siècle et elle fut particulièrement longue (827-902).
À la suite de cette conquête, un mouvement d'immigration d'Arabo-Berbères peuple les vallées fertiles de Sicile, réduisant à l'esclavage la population sicilienne qui ne se convertissait pas ou qui ne payait pas l'impôt pour vivre libre. [réf. nécessaire] Ce sont ces colons qui apportent la langue arabe en Sicile. Elle s'enrichit au contact de la population sicilienne pour acquérir des traits caractéristiques propres pour en faire une langue distincte de celle parlée en Ifriqiya et devenir peu à peu l'arabe sicilien ou siquili.
Derniers arabophones de Sicile
Après la conquête normande de la Sicile, les nouveaux conquérants adoptèrent une politique tolérante envers la population musulmane, qui constituait à leurs yeux un élément ethnique parmi la population ancienne de l'île.
Un grand nombre de paysans arabophones subsistent encore un siècle après la conquête normande, notamment dans la partie nord-occidentale de l'île, appelé le Val di Mazzara. Ibn Djubayr, intellectuel originaire d’Al Andalus, dans un récit de voyage en 1184 précise que les musulmans constituent une communauté autonome ayant ses propres lois et vivant à l’écart des chrétiens. En effet, les musulmans exercent librement leur culte, possèdent une grande mosquée, de petites mosquées servant d’école coranique, et un tribunal présidé par un cadi, c’est-à-dire un juge religieux.
Une révolte fut lancée par un dénommé Ibn ‘Abbad (Mirabetto) à Iato et Entella. La révolte fut réprimée durement. Devant le nombre de morts que cela causa dans la population, il finit par se rendre et fut mis à mort. Sa fille reprit le flambeau de la révolte contre Frédéric II de Hohenstaufen, mais la mort de l'héroïne sonna le glas de la communauté musulmane de l'île. Frédéric II de Hohenstaufen, jugeant dangereux l'idée de garder une telle population si près de coreligionnaires qui pourraient leur venir en aide en cas de nouvelle révolte, et connaissant les trop vivaces traditions indépendantistes des montagnards et des paysans du Val di Mazzara, il les obligea à demander l'aman.
Les musulmans rebelles de Sicile furent envoyés à Lucera, cité fondée par Frédéric II de Hohenstaufen en 1220 au nord de l'Apulie (les Pouilles actuelles), par vagues successives entre 1223 et 1246 pour cultiver les terres fertiles autour de la ville, faisant fuir une bonne partie de la population chrétienne. On parle alors de plus de 60 000 musulmans d'après certaines sources, répartis entre Lucera, Girifalco et Acerenza. Placés aux portes des États pontificaux, il leur confia la garde du Trésor royal. Ils firent d'abord en 1226, une révolte très vite réprimée, les musulmans n'étaient pour Frédéric II que des sujets dont il exigeait la soumission, ce qu'ils firent rapidement.
La forteresse fut achevée en 1227 et devint le principal point d'appui pour les provinces touchant l'Adriatique. L'empereur les employa notamment dans sa garde personnelle, ce qui est une tradition déjà employée par les princes normands de Sicile notamment Robert Guiscard[réf. nécessaire]. Il ouvrit les portes des casernes sarrasines aux missionnaires franciscains afin qu'ils puissent instruire ceux qui le désiraient en la foi chrétienne, Frédéric II n'était pas dupe, il savait qu'aucun ne le ferait mais avait voulu calmer par ce geste le pape. En 1239, il les concentra tous à Lucera aussi bien ceux qui habitaient à Girafalco et à Acerenza mais aussi de nouvelles familles venues de Sicile. On appela alors la ville Lucera Saracenorum. Il s'installa dans les dernières années de sa vie à Lucera vivant comme un monarque oriental avec même des haras de chameaux et pratiquait la chasse aux guépards. Fidèle à son empereur qui s'éteignit le 13 décembre 1250 à 7 miles de ses murs, à Castelfiorentino, Lucera, dont les habitants devinrent des serviteurs zélés de l'État, connut des périodes de splendeur dans les domaines de la culture et de l'artisanat.
Extrait de la page wiki concernant l'arabo-sicilien.
Arabe sicilien
L'arabe sicilien était un dialecte arabe parlé entre le xe et le xiie siècle en Sicile, en Calabre et aux îles Kerkennah, petit archipel proche de la côte tunisienne. Appelé en arabe siqili ou sqili (de Siqiliya, nom arabe de l'île), il fait avec le maltais, dont il était très proche, partie des langues dites siculo-arabes.
Histoire chrono-culturelle de l'arabe sicilien
Conquête aghlabide de la Sicile
Après la mort de Mahomet, en 632, la djihad permit l'expansion de l'islam, d'abord au Machrek avec les trois premiers califes, compagnons du prophète, puis au Maghreb et en al-Andalus avec les califes omeyyades. La mer Méditerranée est un « lac musulman » 1 pour le commerce arabe. Les seuls à contester son hégémonie sont les empereurs byzantins qui, avec la Sicile et Malte, contrôlent la rive nord du passage entre le bassin oriental et occidental de la Méditerranée.
Au tout début du viiie siècle, les Aghlabides de l'Ifriqiya s'attaquent à Constantinople — mais échouent après un an de siège —, et à la Sicile, mais ils doivent renoncer pour faire face à des révoltes berbères en Afrique du Nord. Finalement la conquête de l'île ne fut réalisée qu'au ixe siècle et elle fut particulièrement longue (827-902).
À la suite de cette conquête, un mouvement d'immigration d'Arabo-Berbères peuple les vallées fertiles de Sicile, réduisant à l'esclavage la population sicilienne qui ne se convertissait pas ou qui ne payait pas l'impôt pour vivre libre. [réf. nécessaire] Ce sont ces colons qui apportent la langue arabe en Sicile. Elle s'enrichit au contact de la population sicilienne pour acquérir des traits caractéristiques propres pour en faire une langue distincte de celle parlée en Ifriqiya et devenir peu à peu l'arabe sicilien ou siquili.
Derniers arabophones de Sicile
Après la conquête normande de la Sicile, les nouveaux conquérants adoptèrent une politique tolérante envers la population musulmane, qui constituait à leurs yeux un élément ethnique parmi la population ancienne de l'île.
Un grand nombre de paysans arabophones subsistent encore un siècle après la conquête normande, notamment dans la partie nord-occidentale de l'île, appelé le Val di Mazzara. Ibn Djubayr, intellectuel originaire d’Al Andalus, dans un récit de voyage en 1184 précise que les musulmans constituent une communauté autonome ayant ses propres lois et vivant à l’écart des chrétiens. En effet, les musulmans exercent librement leur culte, possèdent une grande mosquée, de petites mosquées servant d’école coranique, et un tribunal présidé par un cadi, c’est-à-dire un juge religieux.
Une révolte fut lancée par un dénommé Ibn ‘Abbad (Mirabetto) à Iato et Entella. La révolte fut réprimée durement. Devant le nombre de morts que cela causa dans la population, il finit par se rendre et fut mis à mort. Sa fille reprit le flambeau de la révolte contre Frédéric II de Hohenstaufen, mais la mort de l'héroïne sonna le glas de la communauté musulmane de l'île. Frédéric II de Hohenstaufen, jugeant dangereux l'idée de garder une telle population si près de coreligionnaires qui pourraient leur venir en aide en cas de nouvelle révolte, et connaissant les trop vivaces traditions indépendantistes des montagnards et des paysans du Val di Mazzara, il les obligea à demander l'aman.
Les musulmans rebelles de Sicile furent envoyés à Lucera, cité fondée par Frédéric II de Hohenstaufen en 1220 au nord de l'Apulie (les Pouilles actuelles), par vagues successives entre 1223 et 1246 pour cultiver les terres fertiles autour de la ville, faisant fuir une bonne partie de la population chrétienne. On parle alors de plus de 60 000 musulmans d'après certaines sources, répartis entre Lucera, Girifalco et Acerenza. Placés aux portes des États pontificaux, il leur confia la garde du Trésor royal. Ils firent d'abord en 1226, une révolte très vite réprimée, les musulmans n'étaient pour Frédéric II que des sujets dont il exigeait la soumission, ce qu'ils firent rapidement.
La forteresse fut achevée en 1227 et devint le principal point d'appui pour les provinces touchant l'Adriatique. L'empereur les employa notamment dans sa garde personnelle, ce qui est une tradition déjà employée par les princes normands de Sicile notamment Robert Guiscard[réf. nécessaire]. Il ouvrit les portes des casernes sarrasines aux missionnaires franciscains afin qu'ils puissent instruire ceux qui le désiraient en la foi chrétienne, Frédéric II n'était pas dupe, il savait qu'aucun ne le ferait mais avait voulu calmer par ce geste le pape. En 1239, il les concentra tous à Lucera aussi bien ceux qui habitaient à Girafalco et à Acerenza mais aussi de nouvelles familles venues de Sicile. On appela alors la ville Lucera Saracenorum. Il s'installa dans les dernières années de sa vie à Lucera vivant comme un monarque oriental avec même des haras de chameaux et pratiquait la chasse aux guépards. Fidèle à son empereur qui s'éteignit le 13 décembre 1250 à 7 miles de ses murs, à Castelfiorentino, Lucera, dont les habitants devinrent des serviteurs zélés de l'État, connut des périodes de splendeur dans les domaines de la culture et de l'artisanat.
Le Goublin- Messages : 605
Date d'inscription : 09/03/2013
Localisation : Nord Cotentin
Re: français algérien italien
Alambic...........ça vient d'ou??
Le Goublin- Messages : 605
Date d'inscription : 09/03/2013
Localisation : Nord Cotentin
Re: français algérien italien
on dit bouillotte ; - )) ou la repasse.
Alambic c'est pour les sudistes ; - ))
Alambic c'est pour les sudistes ; - ))
Re: français algérien italien
Tu as des exemples de sémantique italo-normande?
Le Goublin- Messages : 605
Date d'inscription : 09/03/2013
Localisation : Nord Cotentin
Re: français algérien italien
on dit bouillotte ; - )) ou la repasse.
Bouillotte c'est le mot pour le Cotentin.
Par contre, la repasse, c'est pour le cidre, c'est le fait de rajouter de la flotte sur un mare pressé pour la 3ème ou 4ème fois......rien à voir avec l'alambic à ma connaissance
Le Goublin- Messages : 605
Date d'inscription : 09/03/2013
Localisation : Nord Cotentin
Re: français algérien italien
si c'est aussi pour la calva. D'ailleurs on dit Alambic à repasse ou repasse tout court (du moins en sud Manche)
Re: français algérien italien
Acataer/ io acato
Ega!/ Gia!
io chiamo / Cllameu etc..
Ethymologiquement, on est plus dans l'ancien français d'origine romane........Non? ce qui explique les similitudes phonétiques.
Le Goublin- Messages : 605
Date d'inscription : 09/03/2013
Localisation : Nord Cotentin
Re: français algérien italien
D'ailleurs on dit Alambic à repasse ou repasse tout court (du moins en sud Manche)
Et bein tu vois qu'on dit Alambic en Normandie par contre j'ai jamais entendu la repasse pour le calva...désolé.
Le Goublin- Messages : 605
Date d'inscription : 09/03/2013
Localisation : Nord Cotentin
Re: français algérien italien
si c'est aussi pour la calva.
Les français disent aussi calva, alors qu'un Normand dira de la Blanche ;-))
Le Goublin- Messages : 605
Date d'inscription : 09/03/2013
Localisation : Nord Cotentin
Re: français algérien italien
Bein alors de la goutte.....bien dorée cuivrée
Le Goublin- Messages : 605
Date d'inscription : 09/03/2013
Localisation : Nord Cotentin
Re: français algérien italien
Bienvenue Fantrossi:54:
palmentier philippe- Messages : 188
Date d'inscription : 06/08/2010
Age : 67
Localisation : Val de Reuil : Eure : Normandie
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