Le Grenelle de l'Estuaire.
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Le Grenelle de l'Estuaire.
Boujou.
ENVIRONNEMENT.L'explorateur Nicolas Vanier a apporté son soutien au Grenelle de l'estuaire qui, selon lui, va dans le sens de la responsabilisation.
«J'en ai assez des grands débats et des bonnes intentions. Il faut agir. » Et pour l'explorateur Nicolas Vanier, le Grenelle de l'estuaire, qui a connu hier une étape importante au Havre avec une journée de synthèse des travaux lancés il y a dix mois, la démarche initiée à l'échelle de la région havraise, rive gauche et rive droite confondues, va dans le bon sens. « C'est la bonne approche, du concret », juge celui qui revient tout juste d'Alaska et qui prépare un film dont la sortie est annoncée pour le 9 décembre.
Pourquoi la démarche du Grenelle de l'estuaire, déclinaison locale du Grenelle de l'environnement, reçoit-elle les faveurs de l'amoureux du grand nord ? « Je n'arrête pas de le dire partout où je vais : il faut responsabiliser les gens pour faire changer les habitudes. Nous avons les moyens de faire diminuer les émissions de gaz à effet de serre de 3 à 4 %. Il faut que chacun prenne ses responsabilités », ajoute-t-il. En plaidant pour « une écologie industrielle » ou « une éducation à la santé auprès des enfants », le Grenelle de l'estuaire va dans « le bon sens ». De toute façon, pour Nicolas Vanier, « il y a urgence ». « Nous avons quinze ans pour enrayer un processus irrémédiable de destruction de la planète, dit-il. Il faut agir, nous en avons les moyens. »
ST. S.
ENVIRONNEMENT.L'explorateur Nicolas Vanier a apporté son soutien au Grenelle de l'estuaire qui, selon lui, va dans le sens de la responsabilisation.
«J'en ai assez des grands débats et des bonnes intentions. Il faut agir. » Et pour l'explorateur Nicolas Vanier, le Grenelle de l'estuaire, qui a connu hier une étape importante au Havre avec une journée de synthèse des travaux lancés il y a dix mois, la démarche initiée à l'échelle de la région havraise, rive gauche et rive droite confondues, va dans le bon sens. « C'est la bonne approche, du concret », juge celui qui revient tout juste d'Alaska et qui prépare un film dont la sortie est annoncée pour le 9 décembre.
Pourquoi la démarche du Grenelle de l'estuaire, déclinaison locale du Grenelle de l'environnement, reçoit-elle les faveurs de l'amoureux du grand nord ? « Je n'arrête pas de le dire partout où je vais : il faut responsabiliser les gens pour faire changer les habitudes. Nous avons les moyens de faire diminuer les émissions de gaz à effet de serre de 3 à 4 %. Il faut que chacun prenne ses responsabilités », ajoute-t-il. En plaidant pour « une écologie industrielle » ou « une éducation à la santé auprès des enfants », le Grenelle de l'estuaire va dans « le bon sens ». De toute façon, pour Nicolas Vanier, « il y a urgence ». « Nous avons quinze ans pour enrayer un processus irrémédiable de destruction de la planète, dit-il. Il faut agir, nous en avons les moyens. »
ST. S.
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