Philippe Augier... "Normandie Demain".
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Philippe Augier... "Normandie Demain".
Boujou.
Les régionales, la Normandie, dimanche à Beuvron-en-Auge:
Dimanche 20 septembre prochain, Philippe Augier, chef de file du Nouveau Centre pour les régionales 2010 en Basse-Normandie, réunira à Beuvron-en-Auge, les membres de l'association Normandie Demain pour poursuivre la construction du projet en vue des élections régionales de mars.
Dans ce cadre et préalablement aux échanges, Pascal BULEON, Directeur de recherche au CNRS, introduira les travaux avec un exposé sur " l’identité d’un territoire : de la mémoire au projet"
Avant la construction de tout projet il est indispensable de connaître l'histoire pour mieux aborder l'avenir, tel est le sens de cette journée !
Les régionales, la Normandie, dimanche à Beuvron-en-Auge:
Dimanche 20 septembre prochain, Philippe Augier, chef de file du Nouveau Centre pour les régionales 2010 en Basse-Normandie, réunira à Beuvron-en-Auge, les membres de l'association Normandie Demain pour poursuivre la construction du projet en vue des élections régionales de mars.
Dans ce cadre et préalablement aux échanges, Pascal BULEON, Directeur de recherche au CNRS, introduira les travaux avec un exposé sur " l’identité d’un territoire : de la mémoire au projet"
Avant la construction de tout projet il est indispensable de connaître l'histoire pour mieux aborder l'avenir, tel est le sens de cette journée !
Re: Philippe Augier... "Normandie Demain".
Boujou.
Répondant à la députée UMP du Calvados Nicole Ameline, le chef de file Nouveau Centre pour les Régionales privilégie un projet d'union avec la droite et certains « amis » du MoDem.
Il répète que la réunion est habituelle. Qu'il s'agit d'une matinée de réflexion politique, comme il en organise chaque troisième dimanche de septembre, à Beuvron-en-Auge, dans le Calvados. Celle-là a pourtant un avant-goût d'élections. Les médias ne sont pas les seuls à s'être déplacés plus nombreux. 250 hommes et femmes politiques de la région ont répondu présent à l'invitation du maire de Deauville et président de l'association Normandie demain, Philippe Augier. Beaucoup de conseillers généraux et un revenant, l'ancien conseiller général du Calvados et député André Fanton.
« C'est sûr, il suscite de l'intérêt », se félicite un membre de son entourage. Sortant d'une réunion à huis clos, le chef de file Nouveau Centre pour les Régionales de 2010 affiche une décontraction entendue. Si ce n'est la mèche de cheveux qui lui balaye régulièrement le front, rien ne semble l'agacer. Pas même les récents propos de la députée UMP du Calvados Nicole Ameline, qui affirme qu'une tête de liste Nouveau Centre « n'est pas en capacité de gagner les Régionales » (lire Ouest-France de vendredi).
« Je resterai engagé »
« Nous n'en sommes pas là. Il s'agit pour l'instant de définir ensemble le meilleur dispositif pour la victoire. » L'homme a retenu les leçons du passé. Il ne se présentera pas seul, comme il l'avait fait en 2004. Et affirme que « même si je ne suis pas désigné comme tête de liste pour la droite, je resterai engagé quoiqu'il arrive ». Celui que François Bayrou avait déçu, entre les deux tours de la Présidentielle, n'acceptera de tendre la main, au sein du MoDem, qu'à « ceux qui se sentent mal à l'aise avec son pas vers la gauche ».
À Paris, Philippe Augier entretient des relations suivies avec le ministre de la Défense Hervé Morin, président du Nouveau Centre absent hier, « retenu par ses obligations ». Le maire de Deauville a rencontré Nicolas Sarkozy en juillet. Il sait que la candidature pour la Région pourrait être imposée par Paris. En attendant, il n'en dira pas plus. Aucun calendrier ni projet d'union ne seront dévoilés. L'homme a l'habitude de dire que l'impatience est son principal défaut. Pour les Régionales, il se montre à l'opposé.
Angélique CLÉRET.
Ouest-France
Répondant à la députée UMP du Calvados Nicole Ameline, le chef de file Nouveau Centre pour les Régionales privilégie un projet d'union avec la droite et certains « amis » du MoDem.
Il répète que la réunion est habituelle. Qu'il s'agit d'une matinée de réflexion politique, comme il en organise chaque troisième dimanche de septembre, à Beuvron-en-Auge, dans le Calvados. Celle-là a pourtant un avant-goût d'élections. Les médias ne sont pas les seuls à s'être déplacés plus nombreux. 250 hommes et femmes politiques de la région ont répondu présent à l'invitation du maire de Deauville et président de l'association Normandie demain, Philippe Augier. Beaucoup de conseillers généraux et un revenant, l'ancien conseiller général du Calvados et député André Fanton.
« C'est sûr, il suscite de l'intérêt », se félicite un membre de son entourage. Sortant d'une réunion à huis clos, le chef de file Nouveau Centre pour les Régionales de 2010 affiche une décontraction entendue. Si ce n'est la mèche de cheveux qui lui balaye régulièrement le front, rien ne semble l'agacer. Pas même les récents propos de la députée UMP du Calvados Nicole Ameline, qui affirme qu'une tête de liste Nouveau Centre « n'est pas en capacité de gagner les Régionales » (lire Ouest-France de vendredi).
« Je resterai engagé »
« Nous n'en sommes pas là. Il s'agit pour l'instant de définir ensemble le meilleur dispositif pour la victoire. » L'homme a retenu les leçons du passé. Il ne se présentera pas seul, comme il l'avait fait en 2004. Et affirme que « même si je ne suis pas désigné comme tête de liste pour la droite, je resterai engagé quoiqu'il arrive ». Celui que François Bayrou avait déçu, entre les deux tours de la Présidentielle, n'acceptera de tendre la main, au sein du MoDem, qu'à « ceux qui se sentent mal à l'aise avec son pas vers la gauche ».
À Paris, Philippe Augier entretient des relations suivies avec le ministre de la Défense Hervé Morin, président du Nouveau Centre absent hier, « retenu par ses obligations ». Le maire de Deauville a rencontré Nicolas Sarkozy en juillet. Il sait que la candidature pour la Région pourrait être imposée par Paris. En attendant, il n'en dira pas plus. Aucun calendrier ni projet d'union ne seront dévoilés. L'homme a l'habitude de dire que l'impatience est son principal défaut. Pour les Régionales, il se montre à l'opposé.
Angélique CLÉRET.
Ouest-France
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